Nous avons fait la suite de notre partie par internet. Elle a servie de test pour le combat au corps à corps (Death from Above, Kick) et permit d'accroitre notre connaissance du jeu. Nous avons arrêté au bout de 5 tours même si le vainqueur n'était pas facile à déterminer.
Nous allons continuer nos jeux par internet avec de nouveaux mechs à playtester.
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| Mon DFA a totalement foiré. Mais je me suis vengé après avec des coups de lattes dans le Commando |
J’aime jouer en solo; cela me permet de tester un système ou des mécanismes précis. De surcroit je peux pratiquer des jeux pour lesquels je n’ai pas (forcément et systématiquement) d’adversaires. Depuis que j’ai repris Battletech (Classic), je suis en pleine effervescence et je me suis dis que je pourrais faire du solo pour explorer certains points de règle. Après réflexion, je me dois de reconnaitre que cela me semblait un peu fastidieux (notamment à cause des Record Sheets). D’où l’idée de tester Battletech Alpha Strike qui me semble plus facile à utiliser en solo en terme d’intendance.
Ayant récupéré la boite d’initiation à Londres (et depuis mon premier test j'ai reçu la Commander’s Edition qui est la version complète des règles Alpha Strike), j’avais tout sous la main pour tester cette déclinaison de l’univers de Battletech : ce sont les mêmes figurines que Battletech (Classic), les unit cards sont fournies avec toutes les boîtes de jeu et les boîtes de Lances/Stars/Level II, j’ai du terrain à l’échelle 6mm pour compléter les décors en carton fournis dans la boîte d’initiation. Je suis donc parti sur une partie limitée en points (le standard est entre 250 et 500 points) pour tester dans un premier temps avec les figurines de la boîte Battletech A Game of Armored Combat . J’ai aussi réduit la taille de la table de jeu à 36’’ (les mechs commenceront en dehors de table).
Alpha Strike partage avec Battletech (Classic) de nombreux points de règles (séquence de jeu, règles de combat) mais avec quelques aménagements. Par exemple il n’est plus utile de déclarer un à un les tirs de ses mechs en alterné : le joueur ayant perdu l'initiative déclare et résout toutes ses les actions de combat des unités à ce moment puis c'est à son adversaire. Les dégâts de ces attaques sont résolus immédiatement, mais les effets sont toujours appliqués dans la phase finale. Un petit point négatif des règles d'initiation réside dans l’impossibilité d’exploiter l’ensemble des capacités spéciales de mechs (il faut la Commander’s Edition). L'absence d'hexagones a un fort impact sur le déplacement et le terrain mais tout est intuitif. A noter que les mechs peuvent se déplacer très vite (16" pour un locust et encore s'il sprint il peut aller à 24").
Clairement, Alpha Strike correspond complètement à ce que j’imaginais en terme de jouabilité et de plaisir ; c’est rapide, nerveux, avec de beaux retournements de situations. Je vais me plonger dans le jeu complet et ajouter petit à petit de nouveaux points de règles.
Avec JMD nous avons joué à Battletech par webcam interposé et en utilisant Discord. Ce n’est pas la première fois que l’on joue à des jeux de figurines de cette manière, il faut juste disposer des mêmes terrains, décors et figurines (ou des proxies). Avec Battletech c’est encore plus facile avec ses cartes hexagonales numérotées. Nous sommes parti sur une partie simple de type standfight et en utilisant les règles de scénarios de Total Warfare. Pour les figurines nous avons utilisées celles présentes dans la boîte « Battletech a Game of Armored Combat ».
J’avais réparti les mechs en deux factions en essayant d’équilibrer les Battle Values. On joue dans un format réduit (1 lance contre 1 lance) avec la règle d’une map pour 4 figurines. Cela permet de joueur sur une surface restreinte en adéquation avec ce que peux voir nos caméras sans avoir à la bouger sans cesse.
La partie a mal commencé avec des problèmes de son qui ont été réglés…on ne sait pas comment. C’est tombé en marche subrepticement. Par conséquent nous n’avons fait que deux tours mais comme il fait facile de tout noter avec les hexagones numérotés on pourra reprendre la partie une autre fois.
Mon objectif était de tester certains points de règles comme le tir indirect notamment avec l’utilisation des mechs légers comme spotter (qui a été peu efficace car je ne l’avais pas assez préparé et j’ai été trop impatient). En utilisant un déploiement sur le grand côté et même si nous n’avons fait que deux tours, nous avons été vite au cœur de l’action. Au final, c’est concluant et motivant tout en se concentrant sur l’essentiel.
To be continued…
1-48 TACTIC est un pure jeu d'escarmouche (on joue entre 4 et 6 figurines) qui utilise des D6, des cartes de profils, des jetons d'actions (entre autre) qui permet une immersion rapide et une approche intuitive et visiblement bien testée. La table de jeu standard fait 60cm de côté. 1-48 représente l'échelle des figurines (le 1:48 ou 36mm), un poil plus grande que les figurines 32mm classiques mais les deux échelles me semble fongible.
Je pourrai résumer le système comme un jeu basé sur l'économie fine des points d'action : le joueur récupère 5 points d'action par tour qui se cumule avec les PA précédents qui n'ont pas été dépensés. Comme chaque soldat peut dépenser 3 ou 4 actions par tour de jeu, 1-48 évite le côté "je dépense mes 10 actions sur le même bonhomme ultra boosté". De plus les PA peuvent être utilisé pour réagir (plonger à couvert) et on se met en tir d'opportunité non pas sur le tout le terrain mais par rapport à une zone restreinte (et cela coûte 1 PA).
Le jeu démontre qu'il est inutile d'avoir 36 compétences pour caractériser les profils des figurines. L'armement du soldat permet très rapidement de voir comment l'utiliser au mieux sur le champ de bataille. Les capacités de déplacement, de tir de réaction, de dissimulation et le nombre de PA complètent la singularisation.
L'éditeur propose beaucoup de matériel : figurines, règles, décors et missions.
De plus jouer avec des figurines peintes par Jason est un vrai plaisir.
