Le 28 et 29 juin 2008 s'est déroulé à l'AMJH, une campagne Warhammer Batailles Fantastiques imaginée et organisée par Michel Gauthey. Cette campagne, dénommée Mighty Empires 2008, utilise pleinement les hexagones du jeu éponyme s'est déroulé lors de l'événement spécial qui permet de terminer en beauté une année de jeu.
Chaque joueur commence la campagne avec 3 territoires, 1 armée de 1400 points (+100 points d'objets magiques) et doit conquérir le plus de territoires possibles pour y construire villes, mines, brasserie ou écoles de magie. A chaque tour, le nombre de points peut augmenter en fonction des événements et des victoires.
Le système de jeu mis au point par Michel est absolument génial car lors d'un tour donné tous les joueurs sont amenés à combattre : 2 armées sur le même hexagone doivent s'affronter et toutes les armées dans un hexagone adjacent doivent participer au combat. Les joueurs engagés doivent alors entamer une phase de diplomatie forcenée pour attirer dans sa coalition certains joueurs. Le jeu est subtil car les joueurs font la moyenne de leur points d'armée plus 100 points par joueur ce qui implique qu'un joueur faible peut faire baisser le nombre de points disponible.
Avec ce système de coalition, on se retrouve avec des alliances improbables mais jouissive. Par exemple lors de la première partie, une coalition composée de Comtes Vampires, de Chaos, de Mercenaires et de Gobelins a affrontée une armée du Chaos et a failli finir sous les coups d'un Seigneur du Chaos monté sur Dragon.
Le bilan personnel est pas mauvais pour une armée de cavalerie gobeline et orque. J'ai gardé la tête de la campagne jusqu'au milieu de la première journée et j'ai commencé par me faire rattraper puis dépassé par des joueurs plus expérimenté. J'ai fini 5ème ex-æquo avec AlainZ et son armée du Chaos sur 20 joueurs.
En revanche un drame a déchiré le joie de tous, bon enfin la mienne, un vilain canon impérial a tué d'un coup, Bubulle, la gentille vouivre de mon Seigneur Orque. Que tous les joueurs qui lisent ces lignes, fassent une minute de silence en hommage à ce si merveilleux ami qui certain jour n'essayait même pas de dévorer son cavalier lors d'un moment d'inattention.
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Chaque joueur commence la campagne avec 3 territoires, 1 armée de 1400 points (+100 points d'objets magiques) et doit conquérir le plus de territoires possibles pour y construire villes, mines, brasserie ou écoles de magie. A chaque tour, le nombre de points peut augmenter en fonction des événements et des victoires.
Le système de jeu mis au point par Michel est absolument génial car lors d'un tour donné tous les joueurs sont amenés à combattre : 2 armées sur le même hexagone doivent s'affronter et toutes les armées dans un hexagone adjacent doivent participer au combat. Les joueurs engagés doivent alors entamer une phase de diplomatie forcenée pour attirer dans sa coalition certains joueurs. Le jeu est subtil car les joueurs font la moyenne de leur points d'armée plus 100 points par joueur ce qui implique qu'un joueur faible peut faire baisser le nombre de points disponible.
Avec ce système de coalition, on se retrouve avec des alliances improbables mais jouissive. Par exemple lors de la première partie, une coalition composée de Comtes Vampires, de Chaos, de Mercenaires et de Gobelins a affrontée une armée du Chaos et a failli finir sous les coups d'un Seigneur du Chaos monté sur Dragon.
Le bilan personnel est pas mauvais pour une armée de cavalerie gobeline et orque. J'ai gardé la tête de la campagne jusqu'au milieu de la première journée et j'ai commencé par me faire rattraper puis dépassé par des joueurs plus expérimenté. J'ai fini 5ème ex-æquo avec AlainZ et son armée du Chaos sur 20 joueurs.
En revanche un drame a déchiré le joie de tous, bon enfin la mienne, un vilain canon impérial a tué d'un coup, Bubulle, la gentille vouivre de mon Seigneur Orque. Que tous les joueurs qui lisent ces lignes, fassent une minute de silence en hommage à ce si merveilleux ami qui certain jour n'essayait même pas de dévorer son cavalier lors d'un moment d'inattention.
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